BLANCHE-PÊCHE - Janvier à mars 2020
En hiver 2019, sur le Lac des Deux-Montagnes, entouré de neige et de glace, j'ai photographié des cabanes à pêche à Ste-Marthe-sur-le-Lac et Pointe Calumet. Le résultat: des personnages en soi. Vous êtes conviés à venir découvrir mon exposition lors du vernissage le 19 janvier prochain autour d'une bière artisanale de qualité à la brasserie Isle de Garde à Montréal.
Livre photo de l'exposition à vendre sur place.
POLARITÉS - 13 décembre 2018 au 15 janvier 2019
Polarités, c’est deux regards d'artistes sur la nature. L’un se tourne vers l’infini des hauteurs, l’autre vers la surface terrestre des choses. L’un s’intéresse aux cimes vacillantes d’une forêt la nuit, l’autre aux états instables des matières. L’un est un homme, l’autre est une femme. Proposant des environnements aux limites du surréalisme, les images des deux artistes dégagent mystères et énergies primitives, sensations qui laissent ensuite place, grâce aux couleurs et aux textures enivrantes, à un certain état de béatitude.
L'exposition présente une série de 10 nouvelles oeuvres d'Alain Lavergne en conversation avec 10 oeuvres choisies de Fanny Boucher. Lors de cette soirée: vin et fromage, prix de présence (oeuvres des deux artistes), vente de photos petits formats à 20$ (parfait pour des cadeaux!) et possibilité d'achat des oeuvres présentées dans le cadre de l'exposition.
CAFÉ NÉVÉ - Août/Septembre 2017
Vernissage : 1er septembre 2017 à 20h30
Des remerciements particuliers à Café Névé, Laurence Ducharme, Marie-André Bourgoing, Solange Lavergne, Simon Théroux-Samuel et tous ceux qui m'ont aidé pour cette exposition!
SKYPORN - 11 au 18 juin 2015
Vernissage : 11 juin 2015 à 17h30
Skyporn définit essentiellement la fascination et l’obsession parfois inconsciente qu’exerce sur nous l’horizon. Il s’ouvre alors un dialogue entre trois artistes - Véronique Buist, Alain Lavergne et Geneviève Moreau - avec un médium commun qu’est la photographie argentique. L’incapacité à contrôler totalement le processus de création et la contrainte imposée par la pellicule en font un terrain d’exploration lente et parfois aléatoire. L’idée n’étant pas de faire du ciel un sujet d’étude photographique, mais plutôt d’insister sur le ratio d’espace qu’il occupe dans la construction de paysages.